• Voici une suggestion de films à voir pendant vos vacances !

    Les raisins de la colère de John Ford (1940) avec Henry Fonda (d’après le roman de Steinbeck)

     

    L'intrigue se déroule pendant la Grande Dépression (crise de 1929) et le lecteur suit les aventures d'une famille pauvre de métayers, les Joad, qui est contrainte de quitter l'Oklahoma à cause de la sécheresse, des difficultés économiques et des bouleversements dans le monde agricole. Alors que la situation est quasiment désespérée, les Joad font route vers la Californie avec des milliers d'autres Okies (habitants de l'Oklahoma), à la recherche d'une terre, de travail et de dignité.

     

    Affiche Les Raisins de la colère 

     

    I …comme Icare de Verneuil (1979)

     

    L'ensemble du film se déroule dans un pays fictif qui évoque cependant fortement les États-Unis (notamment avec les drapeaux et la devise du pays, le dollar).

    À la suite de l'assassinat du président Marc Jary récemment réélu, une commission d'enquête dirigée par le président de la Haute Cour de Justice, Frédéric Heiniger, est instituée afin d'élucider les circonstances de l'attentat

    Les enfants du paradis de Marcel Carné (1945) Les Enfants du paradis 

    Paris, 1828. Sur le boulevard du Crime, au milieu de la foule, des acteurs et des bateleurs, le mime Baptiste Deburau, par son témoignage muet, sauve Garance d'une erreur judiciaire. C'est ici que commencent les amours contrariées de Garance, femme libre et audacieuse, et de Baptiste qu'elle intimide et qui n'ose lui déclarer sa flamme. Mais aussi ceux de Nathalie, la fille du directeur du théâtre, qui aime Baptiste, et de Frédérick Lemaître, un jeune acteur prometteur, qui entame une liaison avec Garance, tandis que cette dernière aime aussi Baptiste en secret.

     

    La Vie est belle de Frank Capra (1946)

    http://www.dvdclassik.com/upload/images/critique-la-vie-est-belle-capra.jpeg 

    Bedford Falls, petite ville de l'État de New York, la veille de Noël. De chaque foyer s'élève une prière. Les paroles murmurées avec ferveur concernent toutes le même homme — George Bailey —, qu'elles proviennent de la bouche de son épouse, de ses enfants, de ses amis et collègues... et de manière générale de tous ceux qui tiennent à lui. Les prières vont être exaucées et Clarence, un ange sans ailes est envoyé au secours de George afin de gagner ses ailes.

     

    La nuit du chasseur de Charles Laughton (1955)

     

    Un prêcheur inquiétant poursuit dans l'Amérique rurale deux enfants dont le père vient d'être condamné pour vol et meurtre. Avant son incarcération, le père leur avait confié dix milles dollars, dont ils doivent révéler l'existence à personne. Pourchassés sans pitié par ce pasteur psychopathe et abandonnés à eux-mêmes, les enfants se lancent sur les routes.

    Douze hommes en colère de Sidney Lumet (1957)

    Un jeune homme d'origine modeste est accusé du meurtre de son père et risque la peine de mort. Le jury composé de douze hommes se retire pour délibérer et procède immédiatement à un vote : onze votent coupable, or la décision doit être prise à l'unanimité. Le juré qui a voté non-coupable, sommé de se justifier, explique qu'il a un doute et que la vie d'un homme mérite quelques heures de discussion. Il s'emploie alors à les convaincre un par un.

     

    Sueurs froides d’Alfred Hitchock (1958)

    Scottie est sujet au vertige, ce qui lui porte préjudice dans son métier de policier. Rendu responsable de la mort d'un de ses collègues, il décide de quitter la police. Une ancienne relation le contacte afin qu'il suive sa femme, possédée selon lui par l'esprit de son aïeule. Scottie s'éprend de la jeune femme et se trouve ballotté par des évènements qu'il ne peut contrôler.

     

    Rebecca d’Alfred Hitchock (1940)

    Mrs. Edythe Van Hopper, horripilante veuve âgée, accompagnée de sa jeune demoiselle de compagnie, est en villégiature à Monte-Carlo dans l'hôtel Côte d'Azur lorsque leur chemin croise celui d'un riche veuf, Maxim de Winter. Ce dernier n'a aucun mal à séduire la jeune fille et, dans la foulée, à l'épouser et l'emmener dans sa demeure ancestrale de Manderley, quelque part sur la mystérieuse côte de Cornouailles.

    Les premiers contacts avec le personnel du château, régenté par la peu amène gouvernante Mrs. Danvers, sont glaciaux. Cette dernière, en effet, attachée depuis toujours au service de feue Mrs. de Winter, Rebecca, et lui vouant une passion sans limite, même à titre posthume, n'accepte pas l'intrusion de l'« usurpatrice ».

    Le souvenir de l'épouse disparue et vénérée continue de hanter le sombre château ...

     

    Et ceux déjà donnés…

    Ø  Capitaine Conan  de Bertrand Tavernier

    Ø  Joyeux Noël de Christian Carion

    Ø  Un long dimanche de fiançailles de Jean-Pierre Jeunet

    Ø  La Chambre des officiers de François Dupeyron

    Ø  Claude Miller, Un secret

    Ø  Steven Spielberg, La Liste de Shindler

    Ø  Roman Polanski, Le Pianiste

    Ø  Roberto Benigni, La Vie est belle

    Ø  Louis Malle, Au revoir les enfants

    Ø  Charlie Chaplin, Le Dictateur

     

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